Le Roman : Editions Mermod ; 1967 ; 124 pages
Genre : Classique ; Poésie
Présentation de l’Éditeur : Tout ce que Ronsard a écrit de vers amoureux, mais aussi érotiques, au temps de sa verte jeunesse, et qu'il a publié entre 1552 et 1560 à Cassandre, à Marie, aux belles et accortes paysannes qui s'abandonnent sur un talus, le poète dit sa ferveur, dans une langue tantôt familière et leste, tantôt au moyen d'images mythologiques que l'on retrouve dans l'art de Fontainebleau. C'est le beau XVIè siècle qui s'exprime ici, celui du règne d'Henri II, roi cavalier, des châteaux du bord de Loire, des bals et des rêves. Ronsard n'a pas encore la tête religieuse et il ne sait pas qu'il va bientôt troquer sa plume pour une épée. Et si la poésie grave le tente déjà, il ne s'y abandonne que par occasion. Son coeur et son corps l'occupent tout entier.
Mon avis : Je ne suis pas friande de poésie à la base, mais j'ai été contente de découvrir ce poète avec ce petit recueil que m'a offert ma mère. C'était un de ses vieux livres !
Alors je n'ai pas autant aimé que prévu, mais malgré le vieux français, j'ai tout compris, et c'est déjà bien je pense !
J'ai réussi à trouver quelques passages qui m'ont plu et qui m'ont touché, mais dans l'ensemble, je ne suis pas fan de Ronsard.
Citations :
"Si le soucy ne jaunist plus ma face,
Si le plaisir fait en moy son sejour,
Si j'aime mieux les ombres que le jour,
Songe divin, ce bien vient de ta grace."
"Heureux espoir, par ta faveur je puis
Trouver repos des maux qui me déçoivent,
Et par toy seul mes passions reçoivent
Le doux oubly des tourmens où je suis."
Note :
Peut mieux faire
11/20
Une poésie qui m'a moins touchée que prévu, mais j'ai été très contente de découvrir Ronsard !
Une poésie qui m'a moins touchée que prévu, mais j'ai été très contente de découvrir Ronsard !