jeudi 31 mars 2016

Pile à Lire / Pile à Visionner [Avril 2016]


J'ai raccourci ma liste, pour être sûre de pouvoir tout lire avant la fin du mois ! (sans parler du Seigneur des anneaux, tome 3, que je n'ai toujours pas terminé car j'en lis 5 pages par jour !!!)
Si vous avez des envies de Lectures Communes, surtout n'hésitez pas ^^


Faux Raccord (pour faire baisser ma PAL)
Les Chroniques de MacKayla Lane, tome 5 (pour finir une saga)
Alice au pays des merveilles et De l'autre côté du miroir (pour faire baisser ma PAL et pour le film qui sort en juin !)
La cité des ténèbres, tome 3 (pour continuer une saga)

Eeet peut-être si j'ai le temps :




Le Pacte des Marchombres, tome 1 
(pour lire une saga du top 100 de Livraddict)


Finir Monster


(et oui, je ne l'ai toujours pas fini... C'est pas l'envie qui m'en manque, c'est plutôt le temps, et aussi parce que c'est difficile à comprendre, je suis vraiment perdue !)

Regarder la saison 11 de Grey's Anatomy

La 5e Vague, tome 2 : La Mer Infinie


"Il n'y a plus aucune limite entre nous. Aucune séparation. Le vide est rempli. Le néant, défié."


Présentation de l’Éditeur :
Comment débarrasser la Terre de ses sept milliards d'habitants ? Retirez aux hommes leur humanité...
Cassie Sullivan et ses compagnons ont survécu aux quatre premières vagues destructrices lancées par les Autres. Maintenant que l'espèce humaine a été presque entièrement exterminée et que la 5e Vague déferle sur la planète, le groupe se trouve face à un choix : se préparer à affronter l'hiver en espérant le retour rapide d'Evan Walker, ou se mettre en quête d'éventuels survivants avant que l'ennemi ne referme sur eux son impitoyable piège.
Personne ne peut prédire à quels abîmes de cruauté les Autres sont prêts à s'abaisser, ni à quelles hauteurs l'humanité saura se hisser. La bataille finale ne fait que commencer...
Ils connaissent notre manière de penser.
Ils savent comment nous exterminer.
Ils nous ont enlevé toute raison de vivre.
Ils viennent maintenant nous arracher ce pour quoi nous sommes prêts à mourir.

Auteur : Rick Yancey

Genre : Science-Fiction ; Jeunesse

Le livre commence ainsi :   

"Il n'y aurait pas de moisson.
La pluie printanière a réveillé les bourgeons endormis, de belles pousses d'un vert puissant ont surgi de la terre moite, s'étirant comme un dormeur après une longue sieste. Le printemps a laissé place à l'été, et les belles tiges vertes ce sont assombries, passant d'un léger ocre à un brun doré. Les journées sont devenus longues et chaudes. D'épais nuages noirs ont apporté de la pluie, et les tiges brunes se sont mises à briller sous le crépuscule perpétuel qui s'attardait sous la voûte céleste. Le blé s'élevait, mûrissait, ses têtes penchées sous le vent de la prairie, tels un immense rideau ondulant, une mer ondoyant sans fin et s'étirant jusqu'à l'infini."

Mon avis :

J'ai trouvé le premier tome bien plus adulte et glaçant que ce que je pensais trouver avant de le lire. Je l'ai adoré, j'attendais donc beaucoup de cette suite, avec laquelle j'ai vécu une lecture en dents de scie puisse que je suis passée par plusieurs stades de ressenti. Mais ce que j'en retiens surtout, c'est la plume de l'auteur qui est incroyable, travaillée et réfléchie, qui a réussit à me toucher en plein cœur.
Je sais que bon nombre de blogueurs ont été déstabilisés par ce tome, voir même très déçus. Et je peux les comprendre car je pense que cette histoire va bien au-delà du genre young-adult.
Ce n'est pas une dystopie comme les autres, l'auteur s'amuse à perdre son lecteur, à lui faire croire qu'il a la solution, mais en fait il nous tient en haleine jusqu'au bout du tome. J'ai été frustrée bon nombre de fois dans le livre, mais l'auteur en a voulu ainsi et je comprends à présent pourquoi.
Ce livre a un côté très philosophique, un genre de science-fiction qui n'est pas à la portée de tous, moi-même je ne pense pas avoir compris toutes les subtilités du texte et de l'histoire.
D'ailleurs, s'ils comptent faire un deuxième film, je serais forcément déçue. À mes yeux, il est impossible d'adapter cette histoire au cinéma.
Pour en revenir à l'histoire est aux personnages, j'ai trouvé que dans le fond, La 5e vague se rapprochait beaucoup des âmes vagabondes.
Dès la première page, on entre directement dans l'horreur et l'insupportable.
Durant tout le livre j'ai été dans le dans le même état que les personnages. Pourquoi, pourquoi tuer les humains de cette façon alors qu'ils pourraient tout aussi bien en finir une bonne fois pour toute ? Quel est le but de toute cette souffrance, cette torture ?
Le début avec tous les personnages au même endroit, a été assez laborieux pour moi car assez lent et les réactions des personnages me semblaient étranges, voir même illogiques. Surtout celles d'Evan.
En parlant de lui, j'ai aimé qu'il soit le narrateur durant quelques chapitres et qu'il appelle Cassie "Mon éphémère".
Le passage où Ringer joue avec Raznor est trop long, en plus je ne comprenais rien à leurs jeux. Encore un autre passage où l'auteur a faillit me perdre. Mais tout est explicable si on tient bon !
Je savais que tous les dialogues entre Raznor et Ringer étaient importants car plein de sous-entendus. Mais je n'en comprenais pas la moitié... Heureusement, avec de la patience, tout s'éclaire.
Je ne pensais pas que cela arriverait, mais à la fin, j'ai commencé à vraiment apprécier Raznor. Personnage qui pense à ne pas jeter n'importe où un sachet de bonbon, pour la planète. Cela m'a fait sourire.
J'ai aussi été surprise que ce que ce tome soit un vrai club de rencontre. J'ai eu l'impression que tout le monde embrassait tout le monde.
Ce que j'ai le plus aimé dans cette histoire, outre le style d'écriture très travaillée de l'auteur, c'est son imagination.
On croit avoir comprit alors que non, nouveau retournement de situation. L'auteur nous perd, nous fait croire à une solution, et finalement l'horreur de la situation est pire que ce qu'on pensait.
J'attends évidemment encore beaucoup de la suite, mais j'ai peur d'être déçue car je me demande bien comment cette histoire va finir.

Mon ressenti sur certains passages (spoilers) :

- Ringer qui tire sur Teacup au début. D'accord elle ne savait pas que c'était la gamine. Mais déjà pourquoi tirer sans voir qui elle a au bout de son canon ?? C'est quoi ce délire ??

- Sam qui donne un coup de poing à sa sœur ?? Mais c'est quoi cette famille ? Ils sont sacrément violents.

- le retour de Evan incompréhensible, qui attaque tout le monde ??

Citations :

"Il sourit. Au milieu de sa barbe sale, ses dents paraissent très blanches, et maintenant, parce qu'il l'a suggéré, je pense à l'embrasser et je me demande si les poils au-dessus de sa lèvre supérieure me chatouilleront.
Je repousse cette pensée. Les promesses n'ont pas de prix, et un baiser est une esquisse de promesse."

"J'avais à peu près son âge quand j'ai commencé à jouer aux échecs. Le magnifique plateau en bois sur une table dans le bureau de mon père. Les pièces en ivoire brillant. Le roi austère. La reine hautaine. Le chevalier noble. Le fou pieu. Et le jeu en lui-même, la façon dont chaque pièce apportait son pouvoir individuel à l'ensemble. C'était simple. C'était complexe. C'était à la fois brutal et élégant. C'était une danse, une guerre. C'était un univers limité et éternel. C'était la vie. "

"Tout est lié. Les Autres l'ont compris, bien mieux que la plupart d'entre nous. Pas d'espoir sans foi, pas de foi sans espoir, pas d'amour sans confiance, pas de confiance sans amour. Retirez un seul de ces éléments et tout le grand château de cartes de l'humanité s'écroule. "

"Alors comme ça, Vosch, tu prétends savoir comment nous pensons. Dans ce cas, tu sais ce que je suis sur le point de faire. Je vais te peler la gueule avec ma pince à épiler. T'arracher le cœur avec une aiguille à coudre. Je vais t'infliger sept milliards de mini-entailles qui te feront pisser le sang - une pour chacun d'entre nous. C'est le prix à payer. Prépare-toi, connard, parce que quand on retire l'humanité des humains, il ne reste que des humains sans humanité.
En d'autres mots, tu obtiendras exactement ce que tu as voulu, espèce d'ordure !"

"- C'est ça, Cassie, pleure ! A-t-il répliqué d'un ton amer. Pleure, Cassie. Pleure pour elle. Pleure pour tous les enfants. Ils ne peuvent pas t'entendre, ni te voir, ni comprendre ta souffrance, mais chiale pour eux, vas-y, remplis ce putain d'océan de l'horreur, et pleure ! "

"- Ces connards ont fait une grosse bourde en omettant de te tuer, a-t-il bredouillé.
- Benjamin Thomas Parish, c'est le compliment le plus adorable et le plus bizarre qu'on m'ait jamais fait."

"L'incertitude de mon expérience m'écrase. Je me noie dans une mer infinie. Je sombre lentement, le poids des profondeurs obscures m'entraînant vers le bas, forçant l'air hors de mes poumons, broyant mon cœur."

"- Mon père avait l'habitude de raconter l'histoire des six hommes aveugles et de l'éléphant. Un homme touche la patte de l'animal et dit que l'éléphant doit ressembler à un pilier. L'autre touche la trompe et affirme que l'éléphant doit plutôt ressembler à une branche d'arbre. Le troisième aveugle touche la queue et déclare que l'éléphant est comme une corde. Le quatrième touche le ventre : pour lui, l'éléphant est comme un mur. Le cinquième, une oreille : selon lui l'éléphant est comme un drapeau. Sixième aveugle : une défense, alors pour lui, l'éléphant est un tuyau.
[...]
- Le truc, je dis, c'est qu'à l'instant où le ravitailleur est apparu, nous sommes tous devenus pareils à ces aveugles tapotant un éléphant."

"Il se penche vers moi et plaque un baiser sur mes lèvres.
- Ne recommence jamais ça ! Je lui dis.
- Pourquoi ? Parce que tu as aimé, ou pas du tout ?
- Les deux."

"Les battements de nos coeur, le rythme de nos souffles, et les étoiles tournoyantes que nous ne pouvons voir, qui marquent le temps, mesurant les intervalles de plus en plus courts jusqu'à la fin de nous, de lui et de moi, et de tout le reste."

"Le monde est une horloge qui ralentit, et leur Arrivée n'a rien à voir avec ça. Le monde a toujours été une horloge. Même les étoiles s'éteindront une à une, et il n'y aura plus de lumière ni de chaleur, et c'est ça, la guerre, la guerre futile et sans fin contre le néant, le vide sans lumière et sans chaleur qui se précipite vers nous."

"La lumière dorée, les troncs d'arbres luisants de glace, et le parfum de l'air dans le froid matinal. Les choses que nous laissons derrière nous et celles qui ne nous laissent jamais. Le monde a déjà connu une fin. Il en connaîtra une autre. Le monde se termine et le monde renaît. Le monde renaît toujours."

"- J'emmène Teacup et Poundcake. Toi, les autres. En faisant comme ça on double nos chances.
- Pourquoi s'arrêter à ça ? Je lui ai demandé. Pourquoi ne pas se séparer tous ? Nos chances seraient quadruplées.
- Sextuplées, m-a-t-elle corrigée.
- Bon, je ne suis pas un génie des maths, a dit Ben, mais je pense qu'en se séparant ainsi on fait exactement leur jeu. C'est ce qu'ils veulent : nous isoler, puis nous exterminer."

Note :

16/20



Une écriture sublime. L'auteur nous perd, puis nous fait croire qu'on a comprit, pour nous perd à nouveau, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'on soit à bout de souffle et qu'on termine le livre dans un état étrange. Je suis Bouleversée, énervée, hallucinée, étonnée. 





mardi 29 mars 2016

Les chroniques de MacKayla Lane, tome 4 : Fièvre Fatale


"Confiance ? Je me méfie fortement de ce mot. Il signifie "accepter sans poser de questions.""


Présentation de l’Éditeur : 
"A la merci de mes ennemis, je lutte pour survivre, c'est à dire, en l'occurrence, pour ne pas tomber sous le charme fatal de celui que je me suis juré de tuer... Mais je sens que je perds la bataille, que les frontières entre notre monde et celui des Faës sont en train de céder. Je sens que j'entame le combat le plus difficile de ma vie. Je ne laisserai pas tomber. Je sais que j'ai des alliés, et, plus important, la mémoire de ma sœur assassinée à défendre.Saurais-je faire face à la vérité?"

Auteur : Karen Marie Moning

Genre : Bit-Lit

Le livre commence ainsi :

"La Mort. La Peste. La Famine.
Ils sont là, autour de moi, mes amants, mes terrifiants princes unseelies. Qui aurait cru que l'anéantissement puisse être aussi beau ? Aussi séduisant. Aussi brûlant..."

Mon avis : 

Le moins que l'on puisse dire c'est que la fin du tome trois des Chroniques de MacKayla Lane est totalement insoutenable. C'est pour cela que je ne savais pas du tout à quoi m'attendre dans ce nouveau tome. Dans quel état allait-on retrouver Mac ainsi que le monde ?
Le début de ce tome est très éprouvant pour notre héroïne, mais je dois dire que je m'attendais à être bien plus choquée. Les scènes sont suggérées, donc rien de trop traumatisant.
Nous assistons enfin au rapprochement tant attendu de Mac et de Barrons. Même si ce n'est pas vraiment les circonstances auxquelles j'aurais pensé.
D'ailleurs, j'aurais pu croire que la fin de cette intermède et la reprise des relations conflictuelles entre les deux personnages principaux allait me décevoir, mais les joutes verbales truculentes de ce couple sont ce que je préfère dans cette saga.
Le fait qu'ils se laissent aller (si je puis dire) m'a plu, bien sûr, et les voir à nouveau se disputer est triste, mais c'est leur mode de fonctionnement, et il y a trop de mystères qui entourent Barrons. On ne sait pas si on peut lui faire confiance réellement, et d'ailleurs j'ai bien peur de la tournure des événements et je me demande s'il ne va pas nous briser le cœur à Mac et à moi. Malgré tout, je ne pense pas que Barrons ai de mauvaises intentions envers elle. Je pense juste que la vérité risque de les séparer à tout jamais.
Ce qui est intéressant dans ce tome c'est que toute la Terre prend enfin conscience de l'existence des faes. Les sidh-seers commencent enfin à se réveiller et à se battre. Mais surtout grâce à Mac, car leur chef ne sert toujours à rien.
Dani m'a fait rire avec ses envies de goûter à tous les beaux mâles qui croisent le chemin de Mac. Ses hormones d'adolescente sont en ébullition !
J'ai été frustrée durant les passages où Mac entre dans les pensées de Barrons. Je n'ai pas compris grand chose aux visions et cela me frustre encore plus. Mais cela m'a surtout donné envie d'en apprendre plus. D'ailleurs, toute cette saga tourne autour de grands mystères qui j'espère seront enfin résolus dans le dernier tome que j'attends avec grande impatience.
J'aime les aventures que vit Mac. On pourrait croire que l'histoire avance lentement, et c'est peut-être le cas, mais j'aime que l'auteur prenne son temps et nous fasse partager tous les détails du combat de Mac.
La fin du tome est sacrément frustrante, je conseille d'avoir le tome cinq sous la main, nul doute que si cela avait été mon cas je l'aurai entamé immédiatement.


(écoutez juste la musique, la vidéo n'a rien à voir :D )

Mon ressenti sur certains passages (spoilers) :

- L'arrivée dans la boîte de nuit pleine d'humains en train de manger de la chair Unseelie pour un instant d'extase ou atteindre l'immortalité. C'était glauque !

- Je crois bien que le monstre qui meurt à la fin est Christian...

Citations :

"Je me fais enguirlander chaque fois que je dis un gros mot. Comme si j'étais une môme. Comme si je n'avais pas déjà versé plus de sang qu'elles n'en verront jamais. Assez vieille pour avoir le droit de tuer, mais pas assez pour avoir celui de jurer. Elles voudraient transformer un pitbull en caniche. À quoi est-ce que ça rime ? L'hypocrisie, c'est ce que je supporte le moins."

"- Ne me quitte pas.
Je m'agite entre les draps.
- Je ne m'en vais pas, Mac.
Puis je sais que je rêve, car les songes sont le royaume de l'absurde, et ce qu'il me dit est plus qu'absurde.
- C'est toi qui me quittes, ma poupée arc-en-ciel."

"Nous n'essayons pas d'obtenir quelque chose ; nous voulons ressentir. La vie qui est en nous - magnétique, intense, ardente. Le bonheur. Le malheur. Le plaisir. La douleur. Tout ce que vous voulez - n'importe quoi."

"Je suppose que ceux qui se contentent d'une existence lambda trouvent leur compte dans la sexualité.
En revanche, ceux d'entre nous qui ont un destin ne se sentent jamais aussi vivants que lorsqu'ils frappent l'air de leur poing, tendent le majeur et, dans un sourire narquois, font un joyeux doigt d'honneur à la Mort."

" Être forte, ce n'était pas être capable de tout gérer toute seule, mais savoir quand il fallait lancer un SOS, passer outre sa fierté. "

"Je n'ai jamais compris que l'on puisse désirer vivre éternellement. Il m'a toujours semblé que la perspective de la mort apporte à la vie une certaine urgence, une saveur plus puissante."

"- Il n'y a qu'une seule question qui compte, Mademoiselle Lane, et c'est précisément celle que vous ne posez jamais. Les gens sont capables d'atteindre différents degrés de vérité. La majorité passent leur vie entière à tisser tout un écheveau de mensonges, à s'immerger dans la mauvaise foi, à faire tout ce qu'il faut pour se croire en sécurité. Celui qui vit vraiment connaît de rares et précieux moments de sécurité et apprend à s'épanouir dans toutes les tempêtes. Ce sont les vérités que vous pouvez froidement regarder dans les yeux qui font de vous ce que vous êtes. Faible ou fort. Révélez-vous ! Quelle dose de vérité pouvez-vous supporter, mademoiselle Lane ?"

" Je levai les yeux vers "ma vague", celle que j'avais choisie pour qu'elle me porte au-dessus de cet océan en furie. J'avais l'impression d'être une enfant arrachant un à un les pétales d'une Marguerite : il m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout…"

Note :

16/20

Encore un tome bien structuré, bien écrit, où Mac essaye de survivre et de se battre. Le monde tel qu'on le connaissait n'existe plus. Barrons est toujours aussi sexy et énigmatique. Leur duo est détonant et la fin du tome est insupportablement triste.


lundi 28 mars 2016

Top Ten Tuesday : Les 10 plus beaux livres objets de votre bibliothèque


Rendez-vous organisé par Frogzine

1. et 2. La Reine Margot et Dracula
éditions Baudelaire des "années 60"




3. La Geste d'Alban




4. Le Mont du Sud





5. Les Mille et une nuits



6. Visions des Terres du milieu






7. Anna Karenine
Éditions des "années 60"



8. Le cirque des rêves



9. Les Misérables
Éditions La Pleiade
Offert par mon amie Joyce ^^



10. Autant en emporte le vent
Éditions des "années 70"



dimanche 27 mars 2016

C'est lundi, que lisez-vous ? Que regardez-vous ?

Rendez-vous proposé par Galleane


Qu'ai-je lu la semaine dernière ?

Les Chroniques de MacKayla Lane, tome 4
16/20


Encore un tome bien structuré, où Mac essaye de survivre et de se battre. Le monde tel qu'on le connaissait n'existe plus. Barrons est toujours aussi sexy et énigmatique. Leur duo est détonant et la fin du tome est insupportablement triste.

" Je levai les yeux vers "ma vague", celle que j'avais choisie pour qu'elle me porte au-dessus de cet océan en furie. J'avais l'impression d'être une enfant arrachant  un à un les pétales d'une Marguerite : il m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout…"


Lovely Complex, tome 17 
14/20


Le debut de ce dernier tome est amusant et aussi touchant, avec les toutes les coïncidences et le "Cupidon" qui les a fait se rencontrer. Mais finalement je trouve quand même que ce couple manque de romantisme. La fin m'a meme agacé. Je ne supporterais pas d'avoir un homme qui ne parle pas de moi à ses copains et qui oubli mon anniversaire !!!


Autobiographie d'une fille Gaga
13/20


Moins drôle que ce que je pensais. Un peu futile et superficiel. Je ne pense pas que je retenterais d'autres livres de cette dessinatrice. Je préfère largement Margaux Motin !


Une sacrée mamie, tome 4
15/20


Quand je lis ce manga, je retrouve mes sensations d'enfant quand je regardais La petite maison dans la prairie ou Docteur Quinn Femme médecin. C'est plein de belles morales et on s'attache petit à petit aux personnages ^^



Seuls, tome 1
17/20


On dirait Autre-Monde de Maxime Chattam, en version BD, et en version mieux surtout :D Absolument génial, il me faut absolument connaître la suite ^_^


GTO, tome 4
14/20


Ce tome-ci était un peu moins bon que les autres je trouve. Onizuka ne parle pas beaucoup et sa classe légendaire me manque.


Maliki, une rose à l'amer
17/20


Comme toujours, je suis totalement fan des dessins et des couleurs. J'aurai pu prendre en photo toutes les pages quasiment ! J'ai ris devant certains jeux de mots (pourris mais moi j'adore ça).
J'ai aimé la manière qu'à Maliki de se représenter la réincarnation. Il y a juste LadyBird qui me plait moins. Et n'oublions ses adorables chats <3





Library Wars, tome 3
16/20
En LC avec ma Coccinelle Marine <3


Avoir vu le film et l'anime entre temps m'a gâché un petit peu le plaisir, mais c'est toujours aussi bien ! Ce que j'ai préféré dans ce tome ce sont les deux petites histoires à la fin, qui ne suivent pas la trame principale. J'aime ces moments de complicités entre nos deux Héros <3



Que suis-je en train de lire ?

Le seigneur des anneaux, tome 3
41 %


Il est de ces livres que tu ne peux lire d'une traite, et il en fait partie. J'ai hâte de retrouver Froddon et Sam, car je pense que c'est la partie qui me plaira le plus (je l'espère). Car la bataille du début m'a déçue !


La Passe-Miroir, tome 2


Pas encore commencé mais je me demande si je ne vais pas profiter de ce lundi férié pour l'engloutir (et pourquoi pas le finir ? :D)


Que vais-je lire ensuite ?

Faux Raccord




Qu'ai-je regardé la semaine dernière ?

Maléfique
Revisionnage
19/20


Un enchantement, une sublime réécriture, meilleur que le conte de notre enfance <3



Fruits Basket, épisode 3 à 22


L'histoire de Momiji a encore faillit me faire pleurer !


"Que deviens la neige en fondant ?
Le printemps."


Fringe, saison 3, épisode 14 à 18


J'ai adoré l'épisode dans le passé, la toute première rencontre entre Olivia et Peter <3


Et plus ça va plus je trouve Lincoln Lee (Seth Gabel) méga sexy <3 (enfin, dans le monde parallèle, pas dans notre monde à nous. Il fait trop propret).


ShadowHunters, saison 1, épisode 11


Révélations révélations !!! (bon j'ai lu le livre donc j'étais au courant mais j'adooore !)
D'ailleurs Jace joue plutôt bien la grosse souffrance (moins l'actrice qui joue Clary évidemment).
Et gros bip up pour Simon à la fin de l'épisode qui est tout sourire et qui m'a fait trop fait rire. Allez passe à l'attaque !
Point négatif : Y a que moi qui étais en souffrance quand Clary et Jace se sont roulés de gros patins ? Non sérieusement ils ne savent pas embrasser, ça donne pas envie mdr.
Et quand est-ce qu'Alec va arrêter de faire son coincé du bulbe ? J'aime pas qu'il fasse souffrir Magnus grrrr.